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alain sanders - Page 3

  • En hommage à un éveilleur de peuple...

    Les éditions de Synthèse nationale viennent de publier dans leur collection des Cahiers d'histoire du nationalisme, un volume consacré à Jean Mabire, à l'occasion du dixième anniversaire de sa mort survenue le 29 mars 2006. On y trouvera les contributions de Dominique Venner, Pierre Vial, Robert Steuckers, Francis Bergeron, Alain Sanders, Georges Feltin-Tracol, Philippe Randa, Eric Lefevre, L-Ch Gautier et Guirec Sèvres, ainsi que des textes de Jean Mabire lui-même...

     

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    " Il y a dix ans, le 29 mars 2006, décédait l'écrivain et historien normand Jean Mabire. Homme d'une immense culture et aux convictions affirmées, Jean Mabire fut sans doute l'un des écrivains les plus prolifiques du XXe siècle.

    Dans les années 60 et 70, il était encore possible d'aborder certains sujets historiques qui sont aujourd'hui tabous ou sous la haute surveillance des censeurs de l'idéologie dominante. C'était le cas par exemple de la Seconde Guerre mondiale qui fut l'une des matières de prédilection de Jean Mabire.

    Mais Jean Mabire était aussi un militant. Très jeune, il s'intéressa à la politique et, dès l'après guerre, il prit fait et cause pour la Normandie, région sacrifiée de ce que l'on appelle "la Libération", dans laquelle sa famille avait ses racines. Déjà, avant l'heure, Jean Mabire était un identitaire.

    Son attachement à la Normandie le rapprocha évidemment de la cause européenne. En fait, il fut l'un des premiers à imaginer un nationalisme qui dépasserait le cadre strict de la nation française pour se rallier à la dimension civilisationnelle européenne. Ce n'est pas par hasard que Mabire collabora à Défense de l'Occident, la revue de Maurice Bardèche. Plus tard, il sera le rédacteur en chef d'Europe Action, la revue de Dominique Venner, qui marqua une véritable rupture au sein du mouvement nationaliste et qui donna plus ou moins naissance, au lendemain de mai 1968, à ce que l'on appelle aujourd'hui "la nouvelle droite".

    Voilà au moins une des raisons pour lesquelles nous ne pouvions pas laisser passer ce dixième anniversaire sans consacrer un Cahier d'Histoire du nationalisme à cet infatigable éveilleur de peuples qu'était Jean Mabire. "

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  • Centurions...

    Les éditions de l'Atelier Fol'Fer viennent de  publier dans leur collection Xenophon un ouvrage d'Alain Sanders intitulé Centurions - Trente baroudeurs de l'Indochine française. Journaliste et ancien professeur de lettres, Alain Sanders a notamment publié une biographie du marquis de Morès et une du général Robert E. Lee (Pardès, 2015). 

     

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    " Les trente baroudeurs racontés dans ce livre – trente parce qu’il faut bien faire un choix – ont tous choisi leur camp : celui du courage, de l’insécurité, de la fidélité, des copains. C’est l’Indochine de ceux qui ne vivaient pas la guerre depuis le Paramount à Hanoï ou le Continental à Saïgon. Mais dans la boue, le sang et les rizières.

    Certains sont très connus et donc incon-tournables. D’autres le sont moins. Comme Christian Simenon, le frère de Georges Simenon, tombé au combat. Ou Pierre Paulot, sergent-chef au 8e bataillon de choc, tué à Diên Biên Phu. Il y avait des Corses, des Bretons, des Lorrains, des gens des Landes, des Pyrénées, de Provence, des Espagnols, des fils de la rizière (comme le colonel Leroy), des pieds-noirs, des natifs d’Indochine (comme Romain-Desfossés), etc. Tous fils de France.

    On ne leur demandait pas de faire la guerre – ou seulement de ne faire rien que la guerre –, mais aussi de construire. Ils s’y donnèrent corps et âme. Sans jamais être vraiment soutenus par la métropole. Ils se sont battus. Et bien battus. Alors leur histoire. Pour témoigner qu’ils ne sont pas tombés « pour des prunes ». "

     

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  • Le général Lee, un gentleman sudiste...

    « Je ne puis abandonner l'État où je suis né à l'heure de sa plus grande détresse. Je dois partager son sort et souffrir avec lui. Il est de notre devoir de vivre. Que deviendraient les femmes et les enfants du Sud si nous n'étions plus là pour les protéger ? » Robert E. Lee (1807-1870)

    Les éditions Pardès viennent de publier, dans leur collection Qui suis-je ? , un biographie du général Robert E. Lee, signée par Alain Sanders. Journaliste engagé, Alain Sanders a publié de nombreux livres consacrés aux Etats-Unis et à leur histoire.

     

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    " Considéré comme l'un des meilleurs stratèges de l'armée des États-Unis, Robert E. Lee était tout désigné - le poste lui fut proposé -  pour diriger les forces unionistes nordistes pendant la guerre de Sécession. Sa loyauté sans failles à la Virginie de ses ancêtres lui fit choisir, tout au contraire, de prendre le commandement en chef des forces confédérées sudistes. Il est ainsi passé à la postérité comme le héros symbolique de ce que les Sudistes d'hier et d'aujourd'hui ont appelé « la Cause ». Ce «Qui suis-je?» Robert E. Lee propose le por­trait d'un homme qui ne sollicita jamais aucun mandat politique et qui n'approuvait pas, en tant qu'institution, l'esclavage, « mal moral et politique ». Seule figure de l'histoire des États-Unis capable de contrebalancer celle fort contestable, par ailleurs, d'Abraham Lincoln, il fut l'incarnation même du gentleman sudiste, dans la lignée des Cavaliers de Charles Ier opposés aux Têtes Rondes du dictateur Cromwell. Un soldat chrétien, mais pas un puritain. Après la défaite, il revint à la vie civile et con­tribua, sans jamais rien renier, à la difficile réconciliation du Nord yankee et du Dixieland. La popularité de Lee, surnommé « l'homme de marbre », popularité jamais démentie malgré les coups du sort, s'accrut encore après sa disparition, jusqu'à atteindre et dépasser la « frontière » entre le Nord et le Sud, la célèbre Mason-Dixon Line. "

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  • Une Amérique divisée...

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    Le troisième numéro hors-série de La Nouvelle Revue d'Histoire est en kiosque. Il est consacré exclusivement à la guerre de Sécession. On y trouve notamment des articles de Dominique Venner ("Une Amérique divisée", "La vindicte des vainqueurs"), de Charles Vaugeois ("Gettysburg, la bataille fatale"), de Guy Chambarlac ("Le plan stratégique du général Lee", "Grant et l'agonie de la Confédération"), de Stève Sainlaude ("Napoléon III et la Confédération sudiste"), de John Hunter ("L'opposition à Lincoln", "La question noire") ou encore d'Alain Sanders ("La revanche des vaincus")... Bref, un numéro passionnant sur un conflit par trop méconnu en France !

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  • Quelques chroniques d'actualité...

    Nous vous signalons la parution en kiosque d'un nouveau mensuel, Chroniques d'actualité, réalisé par l'équipe du Magazine des livres autour de Joseph Vebret. Les plumes sont libres et la tonalité générale très "anar de droite". On trouve les signatures de Gerald Messadié, d'Alain Sanders, de Marc Laudelout, de Luc-Olivier d'Algange, de Frédéric Saennen ou de Marc Alpozzo ... A lire !

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  • Où sont passés les réacs ?...

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    Le magazine des livres, dans son numéro 28 (janvier/février 2011) actuellement en kiosque, publie un dossier sur les écrivains réactionnaires. On y lira des articles d'Alain Sanders, d'Olivier Bardolle et de Christophe Mory. Et on retrouvera aussi le copieux Cahier des livres, qui est un des charmes de cette revue dirigée par Joseph Vebret.

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